Une récipiendaire inspirée : Béatrice Cyr
05 / Mai / 20

Une récipiendaire inspirée : Béatrice Cyr

Mon nom est Béatrice Cyr et je viens tout juste de compléter ma première année en génie physique à la Polytechnique de Montréal. En 2019, j’ai remporté la bourse Avenir de la Fondation de l’Ordre des ingénieurs du Québec et c’est la présidente Madame Kathy Baig, présidente de l’Ordre des ingénieurs, qui m’a remis cette bourse lors de la soirée reconnaissance. Cette femme m’inspire énormément et ce fut un honneur pour moi de la côtoyer le temps de cette soirée. Je pense qu’elle incarne un modèle de réussite pour les jeunes femmes qui désirent faire carrière en génie.

Lors de mon entrée à l’université, j’ai remporté la bourse GéniElles de Rio Tinto et je suis devenue ambassadrice pour ce programme. J’ai donc commencé à m’impliquer dans différents évènements visant le recrutement des femmes en génie puisque c’est une cause qui me tient vraiment à cœur. Je participe aussi à différents projets pour témoigner de mon parcours personnel. Finalement, je participe à la tournée Géniale qui consiste à l’animation d’ateliers scientifiques au sein d’écoles primaires dans la région de Montréal. Le but est d’introduire le domaine d’ingénierie aux enfants dès un jeune âge en promouvant l’égalité des sexes dans ce domaine.

À l’aide de ces différentes implications au sein de la société, j’aspire à encourager et inspirer les jeunes filles à poursuivre une carrière en génie tout comme Madame Baig l’a fait pour mon propre parcours.

Une profession, une vie

Un gradué en génie métallurgique de Polytechnique (1963), Monsieur Gilles Gauthier a obtenu son permis d’ingénieur en juillet 1965. Il n’a jamais regretté son choix : « J’ai fait carrière dans le secteur industriel et en génie conseil. Le génie m’a permis d’être heureux au travail. J’aimais beaucoup faire ce pour quoi j’ai été formé et jamais je ne me suis senti seul. Mon ordre professionnel était là pour me soutenir », explique Monsieur Gauthier. En 1986, il devient membre du Comité d’inspection professionnel (CIP) de l’Ordre. Puis, en 1988, il en devient le président. « J’avais comme objectif de remodeler le CPI tant au niveau structure, qu’aux niveaux planning et opérationnel. Je crois que nous avons réussi ! Nous étions sept ou huit ingénieurs à siéger sur le comité. La rigueur était de mise. Il y avait là un bel esprit d’équipe et ce fut pour moi une expérience très enrichissante ». Monsieur Gauthier s’impliquera à l’Ordre pendant une quinzaine d’années, soit jusqu’à la fin des années 90. Monsieur Bernard Lamarre, qui présidait alors l’Ordre, lui remettra d’ailleurs le Prix du président pour son implication bénévole en 1996.

Des avantages fiscaux dignes de mention

À la retraite depuis 2010, Monsieur Gauthier a choisi un moyen différent et solidaire de redonner et la Fondation salue son initiative. « Pour Monsieur Gauthier, ce don de titres cotés en bourse est un simple retour d’ascenseur envers sa profession, mais pour l’équipe de la Fondation, son geste est novateur et il a permis de mettre en place une structure pour accepter ce type de dons. Nous espérons que sa générosité, démontrée par un premier don de titres cotés en bourse d’une valeur de plus de 1000 $, agira comme un fer de lance et suscitera d’autres dons de même nature », explique Madame Danielle Gabrielle Roy, directrice générale de la FOIQ.

Monsieur Gauthier renchérit : « La FOIQ est le bras philanthropique de l’Ordre. Elle est un bienfait pour la communauté du génie. Elle prend en main de nombreux jeunes pour les aider à étudier, à se qualifier pour devenir ingénieur. À mes yeux, la Fondation vient carrément élargir le rayon d’action
de l’Ordre ».

Donner autrement

À la retraite depuis 2010, Monsieur Gauthier a choisi un moyen différent et solidaire de redonner et la Fondation salue son initiative. « Pour Monsieur Gauthier, ce don de titres cotés en bourse est un simple retour d’ascenseur envers sa profession, mais pour l’équipe de la Fondation, son geste est novateur et il a permis de mettre en place une structure pour accepter ce type de dons. Nous espérons que sa générosité, démontrée par un premier don de titres cotés en bourse d’une valeur de plus de 1000 $, agira comme un fer de lance et suscitera d’autres dons de même nature », explique Madame Danielle Gabrielle Roy, directrice générale de la FOIQ.

Monsieur Gauthier renchérit : « La FOIQ est le bras philanthropique de l’Ordre. Elle est un bienfait pour la communauté du génie. Elle prend en main de nombreux jeunes pour les aider à étudier, à se qualifier pour devenir ingénieur. À mes yeux, la Fondation vient carrément élargir le rayon d’action
de l’Ordre ».

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